Les poèmes d’Egan O’Rathaille

Sur cette page apparaîtront, au rythme d’un par semaine, la quarantaine de poèmes mentionnés dans le roman.

Elégie pour Diarmad O’Leary de Killeen (228 lignes) Comment peut-on lire une poésie aussi conventionnelle ?

Au chef Owen fils de Cormac Riabach MacCarthy (248 lignes) Quelles sont les figures imposées du genre élégie panégyrique ?

Sur la mort de Seán O’Mahony l’éphélidé (104 lignes) Six appels à la générosité, quand même !

Le fils du racheteur (32 lignes) Le genre aisling suscite l’espoir, mais voici un contre-exemple

Le poète au Château Tochar (24 lignes) Les Irlandais détestaient les Anglais ? Pas si simple…

Les blessures de la terre de Fódla (24 lignes) A qui la faute ?

Sur la mort d’O’Callaghan (272 lignes) Il fait remonter la généalogie du défunt jusqu’à Adam !

La mort de Seán Brown (116 lignes) Plus irlandais que les Irlandais eux-mêmes

Clarté de la clarté (36 lignes) Le plus célèbre des poèmes d’Egan O’Rathaille

La vision (20 lignes) Qui sont les fées ?

La fille du Geraldin (40 lignes) Les Geraldins : gaéliques, normands, ou grecs ?

Élégie pour John Hassiad (120 lignes) Écrite pour être déclamée

Quand j’ai déménagé à Duibne (20 lignes) Mon malheur est celui de mon pays

Pour Donogh O’Hickey (20 lignes) Un héros qui résiste aux Lois Pénales

Sur la mort de Gerald, fils du Chevalier de Glin (184 lignes) Une belle élégie pour un jeune Geraldin

Sur la mort de trois enfants de Tadhg O’Cronan (32 lignes) Oppositions violentes entre la grâce et l’horreur

La prophétie de Donn Fhírinne (20 lignes) Un peu de géopolitique des années 1710

La satire de Na Tuile et la réponse d’Egan (60 lignes et 72 lignes) La critique collégiale est caustique, pour la bonne cause